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Un cactus qui se défenêstre n'est pas chose courante.

Un cactus qui se défenêstre n'est pas chose courante.
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27 septembre 2010

Once again.

Et ça recommence. J'ai l'impression que ça tourne en boucle. Quand allez-vous arrêtez de partir ? Je suis une grosse égoïste, je le sais bien ça. Comment tu veux que je m'en sorte à environ 10 000 km de toi ? Comment tu veux que ça sorte de ma tête ? Besoin de toi.
J'aimerais qu'on arrête de me mettre la boule au ventre alors que tout devrait être parfait.

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1 mars 2009

Ca touche, ça touche pas, mais ça touche pas, ça touche.

Semaine étrange. Des rencontres et des retrouvailles. Chamboulements, retournements et péripéties. Bonheur et déceptions. Je crois que j'ai réglé cette partie de notre vie, de ma vie. La pièce manquante du puzzle. Elle était là, cachée sous la toile. Je suis contre, mais, pour le coup, merci quand même.
Des choses me sont revenues, des moments de joie, de peine, de jeux, de peur et de rires. Douze ans en arrière. On était heureux à cette époque-là mais je n'échangerais ma vie de maintenant pour rien au monde. Douze ans plus tard.
Nouvelles personnalités. Elles correspondaient encore. Pourquoi ? On ne saura jamais. Des chemins si différents pour se recouper maintenant, à l'aube de nos vies de grands. Pourquoi ? On ne saura jamais. Et cela vaut mieux. C'était au bon moment pour moi. Parmi ces deux drames, j'ai pu mettre le point final à celui-ci. Je me sens tellement plus forte pour affronter mon second fantôme maintenant. Merci. Soirée dans la simplicité dans un cadre parfait. Nos appréhensions se sont envolées pour faire face à tant de joie. Mes rires étaient vrais, mes sourires, sincères, je n'ai pas joué de rôle. A aucun moment. C'était tellement fort qu'on me croyait ravagée par toute cette tension relâchée. Mais vous savez, je finirai folle de toute façon. Démence, folie, alzheimer, c'est dans mes gênes de toute façon. Enfermée dans mon monde, ce seront peut-être les meilleurs moments de ma vie.
Je me sens légère. Ma bulle s'envole dans le ciel, le long des branches des peupliers, en direction des nuages... Je voudrais rester dans cet état-là, qu'on ne me l'enlève pas. 24h01. Je voudrais que plus rien ne m'atteigne. Egoistement, rester dans mon monde, encore un peu. Et passer pour la fille dans la lune, la fille associale, et alors ? Cela m'importe tellement peu. Leurs regards, leurs mots et leurs actes, tout cela me passe tellement au-dessus. J'ai réglé cette partie de ma vie et je me sens bien...   

Dans la vie, il y aura toujours des ponts à traverser. Je ne m'en croyais pas capable et tu m'as donné des ailes. J'en connais qui seraient jaloux. Peut-être que ton sourire m'y a un peu poussé, je l'admets. Il n'y a pas de mal à ça. Rencontre inattendue. Au bon moment sûrement. Et parler de tout de rien, de la réalité et de la fiction, je me sentais tellement bien. Tout dans la simplicité. Vraiment ce qu'il me fallait. Je voudrais te remercier. Je voudrais que tu le saches, mais je crois que tu aurais un peu peur et ce serait normal. Mes remerciements seront donc ici où tu ne pourras jamais les lire.

Je voudrais te voir. Je voudrais te raconter tout cela. Je pense si fort à toi. Je m'inquiète, tu le sais et tu me rassures. Je ne sais pas ce que je ferai sans toi, ton sourire et ta vie. Les vrais amis sont rares. Je suis fière que tu fasse partie des doigts de ma main et encore plus fière de faire partie des tiens et que tu comptes encore sur moi après tout ce qui s'est passé. Tu comptes tellement à mes yeux. Tu resteras ma protégée. Et ceux que ça dérange encore, je les emmerde tu sais.

25 janvier 2009

" Laisse-moi te suivre, laisse-moi m'enfuir. "

Ca suffira pour aujourd'hui. J'ai grillé une bonne partie de mes quelques neurones.
C'est dur aujourd'hui. Tu me manques. Et ne te voir qu'en coup de vent sur msn. Et n'avoir de lettre de toi qu'une fois par mois. Ca ne me suffit pas. Pas aujourd'hui. Je sens ton souffle. Je sens ton soutien. Mais ton absence reste. Je ne suis pas partie assez loin pour que tu ne soies qu'un souvenir. Tu t'évapores tout en t'accrochant à mon quotidien. Je t'ai tout raconté tu sais. Tu ne rateras rien. Je t'aime. Toujours. On gagnera notre lutte contre le temps et contre la distance. Tu attendras un peu pour l'Amérique Latine. C'est un ordre. Je t'attends pour refaire le tour de Lyon en été encore et encore...

DSCN0848

Je voudrais ma guitare, je voudrais mon synthé, je voudrais passer du temps à réfléchir sur mes partitions.
Je voudrais courir sous la pluie avec toi et rire encore et encore, comme avant.
Je voudrais que tu te battes. Je voudrais que tu me prouves que tu peux y arriver et que mes efforts n'ont pas été vains.
Je voudrais arpenter les hameaux avec toi et refaire le monde, notre monde. Ca, ils ne nous le prendront jamais tu sais. Jamais.
Je voudrais être partie tellement loin pour que vous ne soyez que des souvenirs et non des manques qui me bouffent de l'intérieur.
Je voudrais être plus forte et moins égoïste.
Je voudrais que tu te décides enfin à m'appeller, je voudrais que tu comprennes que c'est ta voix qui me manque et non ta connexion msn.
Je voudrais comprendre pourquoi tu hantes encore mes nuits et mes cauchemars. Il y a si longtemps. Ce n'était pas mon père, mais le tien. Je me suis inventée la fin pour faire mon travail de deuil. Je n'ai pas d'image mentale de notre fin à nous. Je voudrais comprendre pourquoi je pense encore à toi. Je voudrais comprendre pourquoi je n'accepte pas cette vie qui continue sans toi. Ce n'était pas ton suicide pourtant.
Je voudrais une épaule pour décharger toutes mes angoisses.
Je voudrais comprendre pourquoi j'y pense constamment. Ce n'était pas mon père. Juste les leurs et non le mien.
Je voudrais ne jamais être jugée pour ça.
Je voudrais arrêter de me faire des films pour des évênements passés.
Je voudrais que tu trouves les mots parfaits pour me consoler et me soutenir. Je voudrais que tu penses un peu plus à moi à travers ton nuage.
Je voudrais ne jamais te décevoir et comprendre où tu m'emmènes.
Je voudrais dormir, comme tout le monde.
Je voudrais revoir ma maison.
Je voudrais des bras autour de ma carapace. Je voudrais l'une de vous deux avec ses bras musclés.
Je voudrais chanter encore.
Je voudrais comprendre ton attitude, tes mensonges et ton sourire. Je ne te crois pas. Je ne comprends pas et ça me rend folle. La page n'est pas tournée. Tu m'en empêches et je te déteste pour ça.
Et ton sourire me manque, et ton rire me manque, et ton regard porté sur moi me manque, et tes conseils me manquent, égoïstement je voudrais que cela cesse, je voudrais qu'on m'enlève cette boule dans la gorge.
Quelque part en Mai.

29 novembre 2008

A petits pas.

( En construction )
A Marine.
Je sais que te le dire te ferait peur mais tu sais, je suis fière de toi. Fière de toi putain. C'est une première victoire sur la vie, une nouvelle porte et des nouvelles opportunités qui s'offrent à toi. J'y croyais. Je croyais en toi et regarde maintenant. Tu y arriveras. Ca se poursuivra. Ils ont promis. J'ai promis et tu as promis. Tu leur prouvera tout ça. C'est n'est qu'un premier tremplin avant ton envol. Un premier pas. Pas à pas...
A Ma Miss. T.
Non, ce n'est pas de la déception, ce n'est pas de ta faute, je le sais tout ça, je ne suis pas bête à ce point là. Juste une once de tristesse amère.  J'avais tellement à te dire, tout ce quotidien que je voudrais te faire partager et que je ne peux pas, ça reste coincé. On rattrapera tout ça je te le promets. Besoin de toi. Besoin d'entendre ta voix. Besoin de te serrer fort dans mes bras. J'ai promis et je tiens ma promesse du mieux que je peux. Bientôt 4 mois. Allez encore... au moins 6. Je serai forte, j'avalerai et je patienterai. Je patienterai jusqu'à ce prochain jour où un boeing te rameneras à moi, à nous, jusqu'à ce prochain jour où dans les couloirs impersonnels de cet aéroport aux ailes majestueuses, je pourrai te serrer à nouveau fort dans mes bras. Mon ongle est moins souvent bleu mais je te porte encore plus avec moi. Take care.

11 novembre 2008

Perdue.

Je ne comprends. Pas de clés, pas de petits cailloux, pas de solutions. "Quand il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème." Bah voyons tiens. Ce n'est pourtant pas une affaire de mort. Bienvenue dans le monde de mon inconscient. Je voudrais dormir... Vrai sommeil et non sommeil artificiel. Ca faisait longtemps tiens. Ce n'est que temporaire. Promis. Plus jamais je ne retomberai là dedans. Plus jamais. Plus jamais. Je le sais ça. Ce n'est pas de ma faute si le bonheur me fait peur. Ce n'est pas de ma faute si je le rejette en permanence. Tu avais raison, c'est ce qui pourrait m'arriver de mieux. Utilisation du conditionnel en permanence. Je voudrais tellement que tu saches, je voudrais tellement te dire tout ça, je voudrais tellement ton avis, tes hurlements, ton soutien, son rire et ta compassion. Tu me manques. Et si je me trompais ? Et si je ne distinguais pas bien les signes? Et si je foncais tête la première contre ce putain de mur encore une fois. Je voudrais courir. Je voudrais chanter. Je voudrais hurler. Je ne cherche pas la solution de facilité, il n'y en aura pas cette fois. C'est dur de se débrouiller avec soi-même et ses potes, l'inconscience et la conscience. Je ne comprends pas. Cela ne m'aide pas. Mais je ne peux pas abandonner. Je ne regarde pas en arrière mais bel et bien en avant. Je ne comprends pas. Y'a-t-il vraiment quelque chose à comprendre au fond ? L'impact est proche. En dehors de l'incompréhension, c'est la peur qui domine. Oui je suis une trouillarde. Une putain de trouillarde. Je veux vivre, je veux sourire. J'ai peur. Merci d'être là. Tu es parfaite. Le soutien et la force dont j'avais besoin. Il n'y avait bien que toi pour m'aider de toute façon. Je n'aurais voulue de personne d'autre pour ça. Tu ne comprends pas toi non plus mais j'ai bon espoir pour toi. La folie du hasard. Ou le destin plutôt. Je croise les doigts pour toi. Soies heureuse, c'est tout ce qui m'importe. Plus que ce qui pourrait m'arriver. Ca tourne dans ma tête. Images et souvenirs se mélangent. Ce satané présent a bien du mal à se frayer une place parmi toutes ces méandres. " I'm where I want to be." Oui ça c'est sûr. Tout se bouscule. J-10 jours. Bientôt je serai fixée... Peut-être plus tôt que prévu. J'ai peur de l'espoir, de cet espoir grandissant. Ne pas penser, ne pas y penser et vivre. C'est peut-être une erreur. C'est peut-être le bonheur. C'est peut-être la fin. C'est peut-être le début. Je ne veux plus me casser. Je ne veux plus recoller les morceaux. Tout est encore trop fragile. Aurais-je la force de relever la tête si je me prend le mur ? Aurais-je ce courage une fois encore ? S'occuper la tête en attendant. Bientôt.
Soon...

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15 octobre 2008

Si seulement tout se justifiait par un titre.

" Vous faîtes vraiment attention au mal-être autour de vous. Mais vous savez, vous ne la soignerez pas. Ce n'est plus de votre ressort désormais. Nous ne devenons pas des supers héros. "
Ma difficulté sera bel et bien ici.
Mais je me battrai.
Toujours plus fort.
Toujours plus.

*

Suite à venir.
Ou pas.

27 septembre 2008

Paris.

004Nouvelle vie, nouvelles études, nouvelles rencontres, nouvelles, nouveaux...
Je cours, je cours, mais désormais je sais où courir et surtout pourquoi je cours...

*
Parmi toutes mes photos, peut-être que celle-là reflète au mieux mon quotidien... Vue de la Tour Eiffel de ma chambre. Paris. Paris sous la  brume. Constamment. Paris. Ville grise comme la dame de métal mais belle et bien vivante.

"But I will run until my feet no longer run no more,
And I will kiss until my lips no longer feel no more,
And I will laugh until my heart it aches,
And I will love until my heart it breaks,
And I will love until there’s nothing more to live for..."

20 août 2008

This is me dying in your arms.

Sourire niais et acquiescements. Putain qu'est-ce que je me suis sentie conne. J'avais l'impression de retourner à cette fois-là, à cette époque là avec ces elles dont j'étais si jalouse. Jalouse, putain. Jalouse, mais de quoi ?  Jalouse de n'être ni droguée ni alcoolique et d'avoir un minimum de principes ? Ah ouais, quand même. Peut-être est-ce aujourd'hui machiavélique de ma part de constater qu'elles sont parties et que je suis encore dans le décor, dans ton décor. Machiavélique peut-être mais ça fait foutrement du bien. Mais à mes côtés, tu me manques. Tu me manques putain. Toujours ce foutu vide, cette putain de frustration. Pourquoi on stagne ? Pourquoi on avance si peu malgré nos efforts mutuels ? C'est pas juste. Je ne suis qu'une gamine, je le sais trop bien. Mais je veux plus, encore plus. Je continuerai d'essayer malgré cette frustration grandissante, grandissante... Jusqu'à quand vais-je pouvoir tenir comme ça ? Jusqu'où cela va continuer à me ronger ? J'aimerais bien le dire mais je n'en sais fichtrement rien. On pourrait comparer notre histoire avec un roman dont les personnages stagneraient dans un monde familier où il faudrait réapprendre à vivre. L'issue serait proche mais si lointaine à la fois car les personnages repousseraient l'échéance. Jusqu'à quand ? Je voudrais savoir...

*

J'ai rêvé de toi, il n'y pas longtemps P. Pourquoi maintenant ? Pourquoi tout court. Tu semblais tellement réel, tellement vivant. Où es-tu désormais, que fais-tu ? Je ne le saurais surement jamais et cela vaut mieux comme ça. Cette impression de t'avoir encore auprès de moi et entendre ta voix si particulière m'a secouée. Comme d'habitude...

*

Merci. Merci ma thaïlandaise. Merci mon écossaise. Vos attentions m'ont touchées. Je ne pensais pas les mériter. Merci.

*

Ce serait bien d'être quelqu'un de bien, de savoir toujours quoi dire et quoi faire au moment où l'autre aurait besoin de réconfort. Malgré mes efforts, j'ai l'impression de stagner. Ce n'est pas une impression d'ailleurs mais un fait. Je régresse. Des questions plein la tête. Et là-bas, comment ce sera ? Conviendrais-je aux épreuves que l'on sera amenés à traverser ? Trouverais-je des gens comme moi ? Trouverais-je des réponses aux pourquois de certains de mes actes, de mes pensées ? Mais le plus important reste à savoir si je me trouverai moi...

2 août 2008

Come on baby, can you bleed like me ?

Envie d'écrire ici. Pourquoi ? Pourquoi pas. J'y arrive mieux sur du papier pourtant. Je le sais bien ça. J'ai reçu une lettre. Un ancien rêve qui fait surface. Je vais laisser voler mon imagination et tenter à nouveau ma chance. Un mélange de sentiments ces derniers temps. La quiétude laisse place à la tourmente. La tourmente laisse place à la peur. La peur redonne de la vie à l'espoir. Et l'espoir laisse place à une certaine paix intérieure. Et ainsi de suite. Beaucoup de colère, de fatigue également. En colère contre moi. En colère de m'être laissée avoir à ces faux espoirs une fois de plus. En colère parce que même les gens biens peuvent se révéler totalement cons, inutiles et décevants. Beaucoup de déception ces temps-ci. Déception mêlée avec de belles rencontres et des discussions inattendues. A quoi ça sert de raconter sa vie sur un blog ? A rien au final. J'en suis consciente. C'est déjà un bon pas. Jane a dit tout à l'heure " Prolonger le doute, c'était prolonger l'espérance", page 593. Je me suis laissée porter par ces mots si vrais. Si vrais, putain. Je me retrouve dans ces expériences, fussent-elles du siècle dernier. Et cette chanson qui tourne en boucle. En boucle dans ma tête. En boucle tout court. Elle reflète tellement d'espoir tout en laissant couler ces larmes qui ont tant de mal à sortir. Like fountains, The Gathering. Je me laisse porter. Se laisser porter. Ca m'arrive parfois. Une nouvelle vie m'attend. Un nouveau départ dans un environnement totalement vierge. Je profiterai de cette chance. Je profiterai. Je n'ai plus à prouver quoi que ce soit à quiconque. Devenir égoïste un peu. Et pourquoi pas ? Il le faudra bien de toute façon. Il y a tellement d'incertitude dans cet avenir si proche et si lointain à la fois. Présent si lent et si rapide. Tu t'en vas bientôt. Je ne voyais pas ce jour arriver, mais ça y est, nous y sommes. Je le redoutais tout en l'espérant à la fois. C'est assez égoïste de penser ça. Mais je sais que c'est pareil de ton côté. Une nouvelle vie. Hâte d'en commencer l'écriture. Mon écriture. Où que tu soies, je t'aurais toujours avec moi. Au jour d'aujourd'hui, tout se bouscule, je cours en tgv et toi tu cours en avion. Ca va trop vite et trop lentement à la fois. Ca tourne dans ma tête. Ca tourne autour de moi. Putain de yeux. Ca tourne. Je ne sais plus vers qui me tourner. Leur compassion me pèse et leur manque de compassion m'exaspère encore plus. J'y avais cru. Putain, j'y avais cru. Naïve va. Je ne me laisserai plus prendre à ton jeu, au placard tout ça. Je ne veux plus y croire et me prendre le mur. Ah, ce cher vieux mur. Content de me revoir n'est-ce pas ? Et bien, pas moi, non. La colère, ça bout. La colère, ça tourmente. La colère, ça fatigue surtout. Marre d'être fatiguée à cause de toi. Je ne veux que ton bonheur mais mes pensées sont parfois contradictoires. Je suis horrible. Apprendre à ne compter que sur soi. Vous m'avez déçue. Toi et ta secte. Toi et ton monde inaccessible. Toi et tes plaintes. Beaucoup d'autres toi. Le soleil brille dehors et je me sens partir. Prends du sucre putain et ta gueule. T'en as pas assez fait comme ça tu crois ? Torey, je vais me replonger dans ton monde. Je veux tout savoir. Je veux bouffer ta connaissance. Je veux connaître toutes tes expériences. Apprends-moiApprends-moi. Hey, toi. Merci. Merci pour l'été dernier. Merci pour cette année. Merci pour cet été. Et merci, pour tout le reste. Je serai forte pour toi tu sais. J'ai promis. Je retiendrai mes larmes à l'aéroport. Je me le suis promis. Je te dois bien ça. Je te dois tellement. Après tout, un an, ce ne sera rien dans vingt ans, hein ? On deviendra quelqu'un. Tu me trouveras changée à ton retour. Mais en mieux et en plus stable. Je te le promets. Pour eux, ces futurs qui compteront sur moi. Pour toi. Mais égoïstement, surtout pour moi. Promise ? Promise.

30 avril 2008

Cherche désespérement Temps à acheter ou à louer.

DSC00017

" Le risque d'être frappé par la foudre augmente si,
debout sous un arbre,
poing levé vers le ciel,
vous criez:
" J'emmerde l'orage!" "

- 4 Filles Et Un Jean -

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